Le 11 février est la Journée internationale des femmes et des filles de science. Puisque notre CIUSSS emploie une foule de professionnelles issues d’autant de domaines des sciences, voici les propos tirés d’une rencontre avec Frédérique Poirier-Parent, ingénieure en efficacité énergétique au sein de la direction de la logistique et des services techniques. 

Il importe de souligner la Journée internationale des femmes et des filles de science, notamment en reconnaissance de l’apport de celles-ci à l’amélioration continue et à la gestion du changement.

Frédérique Poirier-Parent

En ingénierie, son domaine, il va sans dire qu’hommes et femmes démontrent une rigueur commune à l’application des techniques. Or, la richesse de la perspective féminine soutient la vision systémique de l’accompagnement des équipes, tout en humanisant les approches adoptées. 

À très haut niveau, le mandat de l’ingénieure dépasse les calculs, les plans et les devis; elle se doit d’innover en proposant des processus inclusifs qui susciteront de l’engagement et de la mobilisation, tout en étant consciente que ces mêmes processus devront être adoptés par des humains. Et c’est à ces derniers que servent ultimement l’innovation et la créativité que génèrent les différences réflexives et introspectives marquantes entre les genres. 

« Les femmes en sciences, plus spécifiquement les femmes ingénieures, sont souvent, selon moi, des individus qui se démarquent par leur façon de penser, d’analyser et d’interpréter les choses « hors des sentiers battus ». Ces contrastes doivent être célébrés; ils constituent une mine d’or pour toutes les équipes et tous les projets! » 

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